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entrez en toute sécurité dans notre beau pays la CÔTE D'IVOIRE avec GUIDE TOUR beaucoup de bons souvenir vous attendent . En juin 1997, un ambitieux Plan de lutte contre la pauvreté a été adopté. Piloté par le ministre du Plan, il prévoit une série d'actions et de mesures spécifiques en matière d'assistance aux pauvres et d'amélioration des conditions de vie des couches vulnérables de la société. Pour développer le secteur sensible de l'éducation, la stratégie du gouvernement cherche à adapter le système éducatif aux besoins de développement du pays, tout en promouvant un enseignement de qualité. Il est prévu que le taux de scolarisation net, actuellement de 51 %, passe à 55 % en 2000. Pour ce faire, la dotation budgétaire du ministère de l'Education nationale sera revue progressivement à la hausse. A la fin du programme, elle avoisinera 38 % des dépenses primaires (hors dons) de l'Etat. La dotation globale du secteur de l'éducation pour l'année 1998 a été arrêtée à 324,9 milliards de F CFA, soit environ 33 % des dépenses primaires de l'Etat ce qui représente une amélioration de 2 % par rapport à 1997. Mais la lenteur des procédures budgétaires est telle que le taux d'exécution ne dépassait guère 51 % au 31juillet. Sur les 1027 classes programmées, près de la moitié seulement ont livrées dans les temps. Il s'agit de 269 classes bénéficiant d'un concours de la Banque africaine de développement (BAD) et de 153 autres financées par un don du Japon. Le reste (413 classes), financé par le Trésor, pâtit des lenteurs budgétaires et administratives. En outre, ces retards contrecarrent le programme de recrutement des maîtres. Dans le domaine de la santé, le gouvernement entend accélérer l'exécution du Programme National Sanitaire (PNS) adopté en 1996. Comme pour l'éducation, le budget de l'Etat sera mis à contribution. De 7 % en 1996, la part des dépenses de santé passera à 9,4 % en 2000. Les financements d'un montant total de 98 milliards de F CFA pour 1998 ont profité en priorité aux médicaments génériques (aux prix de 3 % à10 % inférieurs à ceux des pharmacies privées), au Programme Elargi de Vaccination (PEV) dont le taux de couverture est passé de 50% à 60% et, bien sûr, à la lutte contre les grandes endémies (Sida, MST, etc.). Une enveloppe de 800 millions de F CFA a été affectée à la réorganisation de la Direction exécutive du programme de lutte contre le Sida et à la décentralisation des activités du Comité national, l'objectif étant de développer une prévention de proximité.
 


plaque tournante d'Afrique de l'ouest, la ville d'Abidjan exerce un pouvoir d'attraction certain sur les habitants de la Côte d'Ivoire. Attrait économique certes, mais aussi attrait touristique... Selon la légende, des colons français qui exploraient la région d'Abidjan rencontrèrent un vieil homme. A la question des étrangers lui demandant le nom de l'endroit où ils se trouvaient, il répondit : " je reviens de couper des feuilles dans la forêt", ce qui se prononce en langue ébrié: "T'chan M'bi djan". L'oreille peu exercée des francais aurait entendu "Abidjan". Ainsi fut baptisée la ville qui, le 1er janvier 1934, devenait le chef-lieu de la colonie et, le 4 décembre 1958, prenait le titre de capitale de la République de Côte d'Ivoire après Grand-Bassam et Bingerville et avant Yamoussoukro. Dix communes composent la ville d'Abidjan
 : Le Plateau, Abobo, Adjamé, Attécoubé, Cocody, Koumassi, Marcory, Port-Bouët, Treichville, Yopougon. Plateau Surnommé par certains le "Manhattan des tropiques", Le Plateau avec ses nombreux immeubles surplombe la lagune Ebrié. Depuis la création du quartier ferroviaire, pour accueillir le terminus de la ligne de chemin de fer Abidjan-Niger, le Plateau n'a pas cessé de se développer pour devenir le centre administratif, commercial et financier de la Côte d'Ivoire. Abobo La commune d'Abobo joue depuis longtemps le rôle de refuge pour les migrants ayant peu de moyens financiers. A l'origine, ce quartier fut l'une des premières stations de trains; il s'est développé spontanément autour de la gare. Adjamé. C'est à Adjamé que se situe la plus vieille souche Abidjanaise. Tandis que les colons s'installaient au Plateau, les premiers migrants, venus travailler sur le chantier de la voie ferrée, construisirent leurs cases à proximité du village d'Adjamé. Ce quartier est aujourd'hui un centre de négoce intense où les commerçants dioulas, libanais, mauritaniens etc… se sont rapidement installés. Attécoubé Situé sur une butte dominant la bai du Banco, Attécoubé est longtemps demeuré un simple village peu touché par l'urbanisation qui se développait dans les localités voisines. Au début de l'ère coloniale, Attécoubé a été le premier témoin du négoce d'exportation de bois. Les grumes d'acajou, niangons, sipos, sambas, framirés et autre billes de bois transitaient par la lagune jusqu'aux navires chargés de les emporter en Europe. Ces grumes de bois font encore partie du paysage d'Attécoubé. Par ailleurs, la commune englobe la totalité des 3000 hectares constituant le parc national du Banco. Cocody La renommée de cette localité résidentielle s'est construite autour de son quartier des ambassades, où de spacieux jardins surplombant la lagune enjolivent de fort belles demeures à l'architecture luxueuse. Cocody a l'énorme avantage d'être un faubourg autonome : la plupart des écoles primaires et secondaires y sont regroupées qui, s'ajoutant à l'université, à l'Ecole Nationale d'Administration, à l'Institut des Arts, etc… en font un véritable centre culturel. La radiotélévision ivoirienne (RTI) y est également installée. Avec ses hôpitaux, ses marchés réaménagés et ses divers centres commerciaux ( dont l'Espace Latrille, abritant la plus grande galerie commerciale de la sous région), Cocody ne manque de rien.Ses extensions (Riviéra, Deux-Plateaux, Angré…) sont toutes aussi agréables à vivre. Koumassi Le village traditionnel d'Ancien Koumassi étant rattaché à la commune de Marcory, Nouveau Koumassi est bel et bien une autre ville, sortie des marécages depuis quelques années seulement. Elle bénéficie d'une zone industrielle qui lui garantit un certain équilibre entre les emplois et les logements. Marcory Avec ses terrains marécageux et couverts de broussailles, Marcory a longtemps été jugée à peu près inconstructible. Jusqu'au jour où des particuliers ont pris l'initiative de remblayer la presqu'île et de mettre en valeur la cité. L'humour populaire s'exprime dans la domination des rues de cette localité; ainsi, " l'avenue de la TSF" trouve ironiquement son prolongement dans un quartier qui, s'étant développé spontanément et dépourvu de tous réseaux est appelé "Marcory sans fil". Plus à l'Est, on trouve "Marcory Poto Poto", ce qui signifie "la boueuse". Faisant également partie du domaine communal, « la zone 4 « abrite à la fois des industries et des villas, selon le système usuel des concessions où les logements sont contigus à l'usine. Marcory renferme encore des villages tels que Biétry, Vieux Koumassi, Anoumabo qui se distinguent par leurs églises chrétiennes ou harristes, toujours présentes. Port-Bouët Etalée tout le long du littoral sur une dizaine de kilomètres au delà du canal de Vridi, Port Bouët porte le nom du Commandant Bouët Villaumez qui, en 1837, fut chargé par le roi de France de conclure des traités de commerce et de protection avec des chefs côtiers. C'est en fait vers 1930 que Port Bouët commença à être habité. La construction du wharf draina à ce moment toute une activité de manutention des marchandises. Le célèbre phare de Port Bouët qui balaie la mer sur un rayon de villes marins fut construit à cette époque. La deuxième étape du développement de cette commune remonte à la création du port, en 1950. Usines et entrepôts se multiplièrent ensuite à Vridi qui devint la principale zone d'emplois d'Abidjan. Porte d'Abidjan par excellence, ayant cédé le port maritime à Treichville à cause du canal, Port Bouët a en revanche pris l'aéroport international d'Abidjan. Treichville Treichville doit son nom a Treich-Laplène, résident de France qui géra les premières plantations d'Elima et signa de nombreux traités de commerce, de protection et d'amitié. Treichville vit le jour à partir de 1910 sur une île inhabitée, juste en face du Plateau, où venait d'être construite la gare de la RAN, terminus de la voie ferrée. En 1936, le quartier bénéficia des travaux de réalisation du canal de Vridi, assurant la liaison entre le Plateau et le chantier sur le cordon lagunaire. Lorsqu'en 1950, le port d'Abidjan fut construit, Treichville devint le principal pôle de développement des industries et des entrepôts commerciaux qui s'installèrent dans les Zones I, II, III. Avec ses discothèques de la rue 12 et du carrefour « France-Amérique «, avec ses centaines de maquis où la bière locale et la viande de brousse constituent le menu traditionnel, avec ses marchés, Treichville est la plus populaire des communes d'Abidjan. Yopougon Au cours des années 1970, « le champ de Yopou « fut désigné pour devenir la grande zone d'extension d'Abidjan et abriter les importants programmes de l'Etat en matière de logement sociaux. La station de recherche de l'ORSTOM (Office de la Recherche Scientifique et Technique d'Outre-Mer) et l'Institut Pasteur sont installés à Yopougon. Une zone industrielle s'y est implantée ainsi qu'un CHU moderne.

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